LIONEL est un peintre né en 1949 à Paris. Peintre abstrait lyrique.
Lionel Perrotte, dit LIONEL est né le 4 Octobre 1949 à Paris. Cet artiste de renommée internationale peint depuis l’âge de quatorze ans. Son œuvre est considérable. Elle compte plus de 3000 peintures et plus de 300 gravures. Les critiques d’Art le classent parmi les abstraits lyriques.
Aujourd’hui, il vit et travaille en Anjou, au Domaine des Hayes à Brion dans le Maine-et-Loire.
Depuis 30 ans, son travail est présenté dans les plus grands Salons d’Art Contemporain d’Allemagne, Autriche, Belgique, Chine, Corée, Espagne, Etats-Unis, France, Japon, Liban, Moldavie, Suède, Suisse, Turquie…
Plus de 100 expositions personnelles témoignent de son succès dans le monde entier et 3 rétrospectives lui ont été consacrées à Angers en 1996, à Zürich en 1999 et à Levallois en 2008.
« Les critiques d’Art le classent parmi les abstraits lyriques. Son style reconnaissable à la perfection de sa technique, révèle un imaginaire puissant. Lionel aime ouvrir des fenêtres sur des espaces-temps différents, faisant voyager le regard du microcosme au macrocosme. Le trait est précis, la couleur lumineuse, la forme significative, le relief impressionnant, comme pour répondre à une absolue nécessité, celle de la vérité de l’œuvre. En fait, Lionel s’intéresse à l’intérieur des choses et des êtres, à la pulsation des mondes. Il cherche à peindre l’invisible pour donner à voir par le cœur, et relier ainsi l’Homme au Sacré. »
Il aborde de nombreux thèmes comme la Tour de Babel, les lacérations, le silence, la fécondation, le suaire de Turin, la matière, la mémoire, les silhouettes, les nocturnes, la fusion, les fluides, les sanctuaires... Il excelle aussi dans l’art conceptuel et l’art du portrait avec un réalisme saisissant.
En 1986, Lionel installe son atelier à Belleville, à Paris. Il réalise ses premières gravures au carborundum, dans l’atelier Pasnic, à Paris. Il y rencontre de nombreux artistes et notamment Max Papart qui l’encourage et Kijno qui le parraine.
Jacques Boulan le découvre. Il devient son marchand. Lionel réalise pour lui de nombreuses éditions de gravures. Il est présenté dans le monde entier, tant sur des foires internationales, qu’en galeries.
En 1988, Jacques Boulan lui fait rencontrer Susanne et Hans Peter Gilg qui organisent dans leur galerie « Art Selection », sa première exposition à Zürich.
L’année suivante, il choisit de quitter son atelier parisien pour Antony où il fait construire un nouvel atelier, au domicile familial.
Au printemps 1990, Lionel est invité au Japon pour une importante exposition de ses œuvres sur 7 étages à la galerie Otsuka à Tokyo.
Le décès de son père, le 21 juillet, intervient le jour du vernissage d’une exposition «Lionel» à la galerie Fine Art au Touquet. Lionel se sent profondément héritier de la rigueur morale de son père, protestant non pratiquant, humble devant la Création.
En 1992, la crise du marché de l’Art et son amitié tumultueuse avec Jacques Boulan, les conduisent à mettre un terme à leur collaboration. Lionel signe un contrat d’exclusivité mondiale avec « Art Selection » à Zürich.
En 1994, « Art Selection » publie un livre, aujourd’hui épuisé, sur l’œuvre de Lionel et Cimaise lui consacre un important un article.
L’année suivante, Lionel s’installe avec sa famille en Anjou. Il y reçoit de nombreux artistes.
Lionel aime ces rencontres et les échanges qui s’en suivent lors des agapes mémorables qui suivent le travail.
En 1996, la ville d’Angers organise la première rétrospective de Lionel.
Le 21 avril, 86 de ses œuvres trouvent acquéreur lors d’une vente aux enchères entièrement consacrée à l’artiste et organisée par Maître Eric Buffetaud à l’hôtel Drouot à Paris.
Cette année-là, il rencontre Concha Benedito dont il admire l’œuvre et l’action. Elle l’invite à participer à MAC 2000. Il y exposera chaque année, jusqu’au départ de sa fondatrice.
L’année suivante, l’exclusivité mondiale accordée à « Art Selection » prend fin. Lionel rencontre Laurier Dubé qui lui commande de nombreuses éditions de gravures, contribuant à étendre sa notoriété.
En 1998, Lionel est exposé à Pittsburgh, aux Etats Unis, à la James Gallery dont il devient un Artiste permanent. Il participe personnellement pour la première fois à Art Fair d’Istanbul, où il reviendra plusieurs années de suite.
En 1999, « Art Selection » organise à Zürich la seconde rétrospective de Lionel.
Lionel rencontre Patrick Gigou, gérant du « Forum des Arts », qui devient son principal éditeur.
L’année suivante, Lionel fait la connaissance d’Helmut Schwarzkopf à MAC 2000. Il l’expose depuis en permanence dans sa galerie d’Heidelberg en Allemagne et lui consacre une exposition personnelle en 2001.
La revue allemande Profil-Art s’intéresse à Lionel et publie un article sur lui en 2002. Cette année-là, Lionel réalise l’affiche de La légende des 2 siècles, spectacle de Catherine Salviat (sociétaire de la Comédie Française) et de Paul Barge.
Lionel démarre alors un projet qui lui tient à cœur : la réalisation d’un retable, aux dimensions identiques à celui de Grünewald, avec les mêmes thèmes et le même nombre de panneaux.
Parution d’un nouveau livre sur l’œuvre de Lionel aux éditions « Forum des Arts », à Paris.
Une grande exposition lui est consacrée à Istanbul, en 2003, à la Galerie Alkent Actuel, 70 œuvres de Lionel sont présentées au public.
L’année suivante, en 2004, Lionel est exposé au Congo à Pointe-Noire, puis à Brazzaville. Ces deux expositions sont financées par le ministère des affaires étrangères et le ministère des affaires culturelles associés à l'Europe. À cette occasion, Lionel dirige une Master-class à Pointe-Noire pour des artistes congolais.
Cette même année, il réalise pour orner le hall d’accueil du groupe Lucent Technologies « Les Danaïdes », une série de 100 peintures.
En 2005, il participe à plusieurs grandes expositions, notamment aux Etats-Unis et en Chine, où Lionel revisite Shanghai, qu'il avait découvert en 1977.
En 2008, une nouvelle rétrospective lui est consacrée à Levallois.
En 2010, il termine un grand polyptyque (1,95 x 3,90 m) de 9 panneaux sur la vie du Christ, parallèlement à son nouveau sujet pictural voué à la fusion.
De 2011 à 2013, il réalise de nombreuses œuvres de commande.
En 2011, il décore le hall d’Eurofarad, une des usines du groupe industriel Exxelia, pour lequel il conçoit trois œuvres monumentales : un triptyque « Le Chemin de l’excellence » (2,00 x 8,10 m), « Microcosme » (2,00 x 3,00 m) et « Macrocosme » (2,00 x 3,00 m).
La même année, il achève sa première peinture numérique, un diptyque pour le groupe Natixis.
Au milieu de l’année 2013, il peint coup sur coup, pour deux cabinets d’expertise comptable, à partir de leur logo, deux grands triptyques dont, pour la première fois, l’un est vertical (2,43 x 1,30 m). Il crée aussi pour un grand avocat, à l’occasion de l’inauguration de ses nouveaux bureaux parisiens, en s’inspirant également de son logo, deux peintures en vis-à-vis.
En 2015, il renoue avec la gravure. Il réalise 2 gravures pour l’Association États de l’Art en collaboration avec le célèbre atelier Pasnic.
Parallèlement, il travaille sur deux thèmes en même temps, les « Fluides » qu’il avait commencés il y a déjà neuf ans et les « Sanctuaires ». Lionel considère les premiers comme un chemin vers l’Unité dans la mesure où ils relèvent à la fois de la Nature et de la Grâce en évoquant, certes, l’élément de l’eau mais surtout les énergies spirituelles voire occultes. Quant aux seconds, ils symbolisent sa rencontre avec le Sacré. Lionel rêve de faire de ces « lieux saints », des rideaux de théâtre ou d’opéra.
Actuellement, il aborde une nouvelle série, les « Horizons » où il nous fait voyager littéralement dans l'espace, manifestant ainsi la fascination qu'exerce sur lui le Cosmos.
"Bleue" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 30 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Chrono" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 75 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Humour brûlant" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 99 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Jaune" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 30 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Naissance solaire" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 75 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Partage vibratoire" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 99 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Poème en vert" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 99 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Prémice" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 75 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Raffinerie des rêves" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 99 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Rouge" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 30 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Ultime" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 75 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
"Verte" Gravure au carborundum originale signée et numérotée par l'artiste. Tirage à 30 exemplaires. Intervention manuelle avec réhauts de peinture. Chaque pièce est différente.
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